Articles - Interviews
La Fantaisie répond à la mélancolie (Ed. Le Coudrier)
« Je parlerais (...) de malice, voire d'effronterie, une espèce de légère ironie qui ne perce pas de prime abord, mais qui sert de note de fond et permet à cette écriture singulière d'offrir un regard neuf, décalé, amusé, sur la réalité. » (okada)
« L’inventivité n’a plus de limites pour François, magicien des mots à renverser les situations se servant d’une sorte de géométrie architecturalement inversée dans le temps et l’espace... »
« La Fantaisie répond à la mélancolie peut aisément devenir un livre-partenaire qui reste à vos côtés, juste au cas où, et voilà l’étreinte d’un beau texte pour s’échapper d’un monde aseptisé et pour sûr, qui oublie de rêver. »
« Plus qu’un métier, être poète est avant tout un état d’esprit. »
Les Impressions des petits garçons (Gaspard Nocturne)
« Une chose remarquable également est la capacité à glisser en quelques mots de la réalité à un autre espace-temps (peut-être tout aussi réel). » (UnChercheurDOr)
« Un livre court et merveilleux, par son sujet - l'enfance - et par la délicatesse et la justesse avec lesquelles l'auteur s'empare de son sujet. Ou plutôt, le saisit, l'examine, avec tendresse et cruauté, comme le ferait, justement, un enfant. » (Sarpati)
« Le livre vaut son pesant d’analyse nouvelle, d’une acuité singulière, répétons-le, comme son auteur. »
« Un voyage spirituel en sept nouvelles pour s’échapper des carcans d’une existence. »
« ... lecture très contemplative, très personnelle... »
« Un livre de rébellion, naïf, enjoué, sarcastique, qui mélange volontiers les larmes et le rire. »
© Alexander Calder
17ème Arr. (Ed. Le Coudrier)
Interview avec Romain Rougé
BSC News - N° 104
Article de Gérard Mottet
Les Cahiers de la rue Ventura - N° 39
« 17e Arr. est un recueil qui déploie un univers personnel fort, marqué par la douceur, l'humour et le rêve. Une fenêtre généreuse sur le processus créatif. Un regard qui mêle maturité et regard enfantin dans un même élan. Loin des sentiers battus, c'est le livre d'un véritable auteur. » (okada)
« L'auteur fait le pari de l'imagination pour réveiller et ressaisir le réel dans ce qu'il a de plus vivant et de plus pittoresque. »
Les Journées Doréfiées de Nathalie (Ed. de l'Onde)
« Voilà un roman très bien écrit, poétique à souhait, avec des personnages, des lieux et des situations surréalistes. (...) J'ai beaucoup pensé à moi enfant en lisant ce livre et je me suis rendu compte que Nathalie et moi sentions les mêmes choses. (...) Quel beau film d'animation ce roman ferait ! » (cat58)
« Vivvian, Solange et la petite Nathalie nous ressemblent. Leur solitude, leur désarroi face au monde, leur état de rêveurs (ou de médiums) - certains diraient de fous, mais pour moi ce sont eux les vrais vivants - me les ont rendus proches. (...) l'auteur travaille comme un peintre, la couleur est très présente dans son écriture. Et son vocabulaire me rappelle les tableaux de divers peintres surréalistes et symbolistes. Côté famille littéraire, j'ai pensé à Maeterlinck. » (okada)
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Logo / paysage / homme-pissenlit : Juliette Delvienne